Je sais même plus quel est le bon choix, les deux ne m'inspirent qu'une impasse. De plus je ne suis même pas sûre d'avoir la permission de choisir. Ce choix me semblait si libérateur, je pensais qu'il aurait beaucoup de choses à m'offrir. Or, quand j'y réfléchis seule, je repense à l'année dernière et je me dis que ce ne sera pas aussi simple, aussi productif et aussi rose que je l'imagine. Mais si je continue de rester sur le chemin que j'ai entrepris, je vais finir par devenir tarée, suicidaire et désespérée, encore à me cogner contre l'échec et à me dire que je serai nulle quelque soient mes efforts. Je n'ai plus la force morale pour y retourner, je ne m'y sens pas à ma place, ce lieu me donne envie de pleurer et je sais que tout est perdu d'avance. Tout un cheminement, pour rien...
dimanche 1 janvier 2012
« Même si on souffre, faut rester curieux sur ce qui peut nous arriver par la suite »
à
14:44