mardi 25 janvier 2011

Pwoskju


Quatre heures quarante cinq. Pas sommeil, pas encore. Si je n'étais pas traumatisée par ma mésaventure nocturne, je serais allée me balader dehors. J'aimerais courir dans ces rues endormies, être la Reine du monde pour une nuit. Jusqu'aux aurores... L'aube me fascine. Elle m'offre le privilège d'être spectatrice de la reviviscence du monde...

Mais l'Aube a peu de valeur en hiver.
Car le monde est debout avant elle.