vendredi 26 novembre 2010

Si cet article vous fait peur, regardez son heure de publication, et vous comprendrez.


J'ai envie de faire des caramels. Mais j'ai grave la flemme. Oui, une envie de faire de la cuisine à 1h du matin, oui oui, ça m'arrive tout le temps, c'est la routine ça, voyez... J'ai nommé ceci la Pulsion Culinaire Nocturne. Mais revenons au sort de ces chers futurs caramels. Bon, déjà, on s'les pèle dans cette maison, et la cuisine j'en parle pas. Mon humble postérieur est confortablement installé, puis pour couronner le tout, j'ai la tête dedans (Oui, d'où l'expression "J'ai la tête dans le cul"!). Ensuite, quel est l'intérêt de faire des caramels ? Les bouffer. J'ai faim, là ? Non. Vous avez faim, vous ? Peut-être, mais  vu l'heure, vous pouvez toujours crever. Ouais bah, en gros, le problème est résolu : cette PCN (Pulsion Culinaire Nocturne) n'aboutit à rien, juste au plaisir de cuisiner. Alors, c'est ici qu'un deuxième problème se pose : Devrais-je assouvir ce désir de cuisiner des caramels ? Est-ce nécessaire au bon fonctionnement de ma santé mentale ? Vais-je finir frustrée, à force de repousser cette PCN chaque nuit ?

...

J'en sais strictement rien, mais je viens de m'endormir sur le clavier.
Je crois que la question ne se pose plus.

Je vous ferai un jour, petits caramels, je vous mettrai au monde, ne vous inquiétez pas D':